Objet d'étude :
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Relectures et adaptations | Parcours | Groupement de textes (lecture Analytique) | Iconographie et représentation études complémentaires | Prolongement (lecture cursive) | |||
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Le Lotus bleu | Le Lotus bleu de Hergé | Le Lotus bleu (Hergé, ''la ville de Shangaï'') | Adaptations | Les Châtiments, ''La nuit du 4'' en prose (V. Hugo) | |||
Les Liaisons Dangereuses | Les Liaisons Dangereuses de Frears | Heureux qui comme ulysse (Ridan / Du Bellay | Affiche Rouge (Aragon/Manouchian) | Les Châtiments ''La nuit du 4'' poème (V. Hugo) | |||
La Condition Humaine... | La Condition Humaine | L'Affiche Rouge (Aragon, ''..'') | Lapsus calami de Flaubert (autocorrection...) | Témoignages : (prose et poème) L'Affiche Rouge) | |||
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| Pollen (Wintrebert) l'incipit // Malraux | Incipits pour une B.D. | Brouillons (Mme Bovary, Flaubert) | |||
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| La Condition H. la scène de rupture adaptée au théâtre (travail d'élève) | Pastiches (La Joconde) | La Passion considérée... (Jarry) |
Texte 1 : Le Lotus bleu 1934-35 en feuilleton (et en dessin animé)Lecture analytique | Hergé |
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« La bande dessinée » Le Lotus bleu 1936 Quatrième album des histoires de Tintin et Milou reporter(s) au Petit Vingtième... Tintin part à Shanghai pour rencontrer Mitsuhirato... ''Publié en 1936, Le Lotus bleu est sans doute l'album de Tintin le plus proche de l'actualité de l'époque. Hergé y fait clairement allusion à l'incident de Mukden, prélude à la terrible guerre sino-japonaise de 1937. C'est aussi le premier album démontrant un vrai souci de réalisme,'' (Wikipédia) |
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Problématique | Axes de résolution |
Conclusion | Remarque |
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La description | Aplats... | Roman, roman graphique et B.D. | Une autre facette de l'Histoire... |
Texte 2 : Liaisons Dangereuses par S. Frears, 1988Lecture analytique | Adaptation |
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De ''En extérieur...'' à ''...son mari…'' |
Valmont cadré par S. Frears
Transcription de la lettre XXI : transposition de la lettre en dialogues pour le film de S. Frears
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Problématique | Axes de résolution |
Conclusion | Remarque |
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| Ouverture sur les textes argumentatifs | Une autre façon de raconter... |
Texte 3 : Pollen (2002) - IncipitLecture analytique | Wintrebert J. |
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de ''Tu ne tueras...'' à ''...les combattre. '' (avec l'autorisation anticipée de l'auteure) |
«Tu ne tueras pas. «Tu ne porteras pas la main sur autrui dans l'intention de le blesser. «Tu ne verseras pas le sang.» C'était la loi de Pollen. Sandre regardait le stylet. Une arme affilée, coupante. Il l'avait affûtée avec soin. Tu ne tueras pas. Il scruta la Citadelle. La porte qui donnait sur les jardins s'ouvrit enfin. Un guerrier en sortit et se mit à courir. Ses pas lourds creusaient le sable des allées. Il ne s'arrêterait qu'à bout de souffle. Sandre frapperait à cet instant. Le guerrier pénétra dans le jardin Rouge. Sandre le guettait depuis deux jours. Le cycle de ses foulées était immuable. Bientôt il atteindrait le Jardin Bleu, il s'arrêterait devant la fontaine, épuisé. Caché derrière la statue des Mères, Sandre attendait, ses doigts moites sur le stylet. Un tic agitait sa paupière. Tu ne tueras pas. La peur lui serrait la gorge mais sa résolution n'avait pas faibli. Et si mon corps me trahit ? Et si mon bras manque de puissance ? C'est un guerrier que je vais attaquer. Un être d'exception, entraîné au combat. Sandre suffoqua. L'odeur des violanthes était insupportable, ce soir. L'antidote de Moray le protégeait-il encore contre les effluves empoisonnés des fleurs-gardiennes ? Sa salive lui semblait un bloc étrange arrêté dans sa gorge. Ses mains fourmillaient. Et s'il tombait, comme tous ceux qui s'approchaient trop près de la Citadelle ? Les pas du guerrier sonnèrent sur les dalles mélodiques de l'atrium, enrayés de fatigue. Sandre respirait à petits coups. Ce n'était pas le moment de flancher. Précédée par son lumen qui l'éclairait à pleine puissance, sa proie approchait. Tapi dans l'ombre des Mères, Sandre vit le guerrier s'arrêter à l'endroit prévu, prendre appui sur ses genoux pliés, haleter comme s'il était pris de malaise. Le premier soir de sa traque, Sandre avait pensé que le guerrier lui échappait, tué par les fleurs censées le protéger. Les guerriers sont immunisés contre les violanthes. En voyant l'athlète s'éloigner d'un pas égal, Sandre avait compris son erreur. À l'instant où le guerrier s'arrêta, Sandre se jeta sur lui, perçant tel un guêpion, à l'endroit du coeur. Le guerrier s'effondra. Il râlait. Sandre sauta en arrière pour éviter la chute de sa victime. En même temps, il arracha le lumen. Privé de son symbiote, l'animal devint obscur. D'un coup de pied, Sandre l'écarta. Le lumen s'éteignit tout à fait. Le guerrier gisait devant la fontaine. Un soupir étrange quitta sa bouche, puis son corps se figea. Sur sa tunique s'élargit une tache, distincte à la faible clarté des étoiles. Sandre se mit à trembler. Figé, l'esprit gourd, la mémoire obscurcie, il essayait de se rappeler les consignes. « Assure-toi qu'il est mort, avait dit Moray. Surtout, n'oublie pas le stylet. »  Sandre gémit. Le stylet! Il s'en était aussitôt débarrassé. Un geste irrépressible. Comment retrouver l'arme, la signature de son crime ?  Fébriles, ses mains exploraient la terre entre les fleurs. Son coeur battait entre ses lèvres, il allait étouffer.  « Panique, avait dit Moray, et ce sera comme si tu avais retourné le stylet contre toi. On t'a dressé à ne pas tuer. Après, chacun de nous a voulu se punir. Résiste. Prends le temps de respirer.»  Sandre s'assit sur ses talons, inspira, expira, et s'aperçut aussitôt que ce n'était pas une bonne idée : l'odeur des violanthes l'accablait, écoeurante, musquée. Il se sentit devenir moite et froid, il s'éloignait de lui-même, au-dessus de lui les étoiles s'éteignirent.  Il vomit en reprenant conscience, trois longs jets brûlants. Les yeux mouillés de larmes, il s'aperçut qu'il avait déjà commencé à se rendre. On avait inscrit en lui l'horreur de la violence. Il ne parvenait pas à la dominer. Il se souvint des exhortations de Moray.  « Tu as été conditionné, Sandy. Frappe, et tu seras délivré. Ne laisse pas le doute t'empoisonner. Les scrupules sont stériles. Les guerriers nous volent nos soeurs et nos amies. Nous devons les combattre.» | 01 05 10 15 20 25 30 35 40 45 |
Problématique | Axes de résolution |
Conclusion | Remarque |
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En quoi ce texte est-il représentatif d'un incipit ? |
| Ouverture sur une question d'entretien | Penser au genre du roman... |
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| Et si le féminin l'emportait sur... |
Texte 4 : Les Regrets (2002) - SonnetLecture analytique | Joachim du Bellay. |
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de ''Heureux...'' à ''...douceur angevine '' (avec l'autorisation anticipée de l'auteure) |
Regrets, XXXI Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison, Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine; Plus mon Loire gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. | 01 05 10 15 20 |
Problématique | Axes de résolution |
Conclusion | Remarque |
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En quoi ce texte inspire-t-il Ridan ? |
| Ouverture sur une question d'entretien | Penser à l'écriture d'une chanson... |
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| Personnalisation... |